Retour sur les moments forts d'ARVALIS au Salon International de l'Agriculture

Plusieurs thématiques étaient à l’honneur cette année. Par exemple, le sujet émergent de la fertilité des sols pour lequel Christine Le Souder, ingénieure R&D, est intervenue lors d'une conférence sur la qualité des sols organisée par l'Acta ; elle y a présenté le service Agro-Eco Sol. 🌱

Aussi, le sujet incontournable de l’eau : Sophie Gendre, ingénieure R&D Gestion de l'eau, a participé à une table ronde organisée par Weenat autour des innovations pour mieux gérer les ressources en eau 💧. Sur le même sujet, le directeur scientifique d'ARVALIS, Stéphane Jézéquel, a aussi évoqué l’outil Irré-LIS qui aide au pilotage de l'irrigation par les agriculteurs lors d’un second temps fort.

Autre sujet phare du salon : le changement climatique. Katell Crépon a abordé la problématique du stockage du grain dans ce contexte lors de la conférence "Organismes stockeurs, anticiper les impacts du dérèglement climatique" avec Javelot, Arterris et Serge Zaka 🌍🌾

Le numérique et l’intelligence artificielle ont été aussi largement traités. Benoit de Solan, ingénieur Capteurs, et le directeur scientifique d’ARVALIS sont revenus sur l’importance du partage de données et de la mutualisation des datas lors de deux débats organisés par l’Acta et par Groupama. Emmanuelle Gourdain, cheffe du service Innovations digitales et méthodologiques, a présenté les freins au déploiement des innovations numériques chez les agriculteurs, par exemple la crainte de perdre en autonomie décisionnelle. 🔬

L’édition 2024 a aussi été marquée par des engagements institutionnels forts. 🖋

• D’abord entre les présidents d’ARVALIS et d’INRAE qui ont renouvelé le partenariat entre les deux instituts pour accompagner la transition agroécologique vers une agriculture performante, durable et résiliente.

• Puis entre Norbert Benamou, directeur général de l’institut, le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, Marc Fesneau, et sa ministre déléguée, Agnès Pannier-Runacher, par la signature d’une lettre d’engagement entérinant un projet dédié au désherbage des graminées dans le cadre du Parsada (Plan d’action stratégique pour l’anticipation du potentiel retrait européen des substances actives et le développement de techniques alternatives pour la protection des cultures).